Kagerou Days : Tome 2 Headphone Actor III

From Baka-Tsuki
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Headphone Actor III



Il n'y avait plus personne autour de moi.

Bloqué par des immeubles, le coucher de soleil qui avait été caché pouvait maintenant être parfaitement observé de cet endroit.

La lumière qui teinta le monde en rouge, je pensai qu'elle ressemblait presque à un feu qui consumé tout sur son passage.

Montant en courant les marches, j’atteignis le sommet de la colline.

La personne qui me parlait dans mon casque murmura quelque chose, mais parce que j'étais complètement concentré sur la reprise de mon souffle, je ne pouvais comprendre ce qu'elle avait dit.

Le moment était sûrement venu de dire que tout était fini. Non, peut-être l'avait elle déjà dit.

Cependant, à mon arrivée au sommet de la colline, il n'y avait rien.

Pour être plus précis, il n'y avait qu'un très grand mur qui projetait un ciel immense. (Comme pour empêcher de faire du hors map dans un jeu)

« ... C'est bizarre.»

Je ressentais une sensation de gène, car il manquait quelque chose ici, bien que je ne me souvienne pas de ce que c'était.

Ma respiration accélérée était lentement revenue à son rythme normal.

Peu à peu, la raison qui se cachait derrière ce sentiment de gène devint évidente.

— Ce n'était pas que quelque chose manquait ici.

"Il" n'était pas là.

« Bien que je pensais que j'allai finalement pouvoir lui dire...»

Ces mots sortirent inconsciemment de ma bouche

Mon ombre allongée devint plus mince. La nuit était déjà tombée.

Comme je le pensais, c'était déjà... trop tard. Même si ici— même si cet endroit était le seul endroit où je pouvais lui dire... ! Entendant ces mots du casque, bien que je ne m'en souvins pas, semblaient dire ce que j'avais dans mon cœur

「Au final, c'était trop tard ! Tout... tout ça— ... !! 」

—— Laisse.

Je ne peux plus le rencontrer.

Je le sais déjà.

「Si c'est... Ce genre de monde, c'est mieux de juste —— !」

Ne dis pas ça.

Bien que je n'y sois pas arrivé à temps,

à la toute fin, j'ai —

—— réalisé mes propres sentiments.

Quand je me retournai ça ce moment, la ville était déjà dans ces derniers instants. Au-delà du ciel qui s’écroulait, je murmurai mes derniers mots à la fille.

« ... Je suis désolé... Takane.»

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Je contemplais la destruction du programme durant ma perte de conscience.

Et les mots venant du casque étaient plus que suffisants pour me réinviter à dormir.