Kagerou Days : Tome 1 Chapitre 1

From Baka-Tsuki
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Ennemie Artificiel[edit]

Partie 1 ː[edit]

Je me réveillai au son d'une sirène. Tout d'un coup, mon cœur commença à battre la chamade. Je regardai vers le haut pour voir le plafond au-dessus de moi. Incapable de comprendre la situation dans sa totalité, je tombai de mon lit, me cognant sur une petite table.

« ……Ah !»

Je me fis mal, la douleur calcinante arrivant à mon cerveau quelque moment plus tard.

Alors que mes yeux s'emplissaient de larmes de douleur et de peur à cause du son explosif, je ramassai le Futon qui était tombé avec moi, et alors que je l'entourai autour de mon corps, le son de la sirène s’arrêta.

« Bonjour, maître.»

Le moment où j'entendis ce bruit, je saisis entièrement la situation dans laquelle je me trouvais.

Il y avait moi—Kisaragi Shintaro les larmes aux yeux— dans une position étrange, ne portant qu'un caleçon, un Futon entouré autour de moi, et une fille —Ene— regardant de l'intérieur de l’écran, les larmes aux yeux, essayant de retenir son rire.

———

Une journée d’été, calcinante.

Pas si longtemps, la société ne parlait que de la fin du monde et des choses du même genre. Des chutes de météorite, de la chute de la civilisation Maya, etc. Maintenant, les nouvelles les plus importantes étaient des sujets paisibles comme,

« Il a été décidé que l’idole ultra populaire jouera dans sa première série TV !»

Pour quelqu'un comme moi, dont le boulot était d’être extraordinairement bien informé des informations les plus populaires, et qui avait combattu dans le front dans les discussions enflammées sur la polémique de l’apocalypse sur Internet, je dois dire que les sujets actuels sont beaucoup moins fun, moins intéressant. Mon job était celui d'un lycéen ordinaire de dix-huit ans. En ce temps, je m’étais confiné volontairement tout en échangeant des commentaires avec les habitants de l'Internet. Et pendant mon temps libre, je protégeai ma maison, comme un garde.

Et pour mon boulot, j'ai commencé à faire de la musique amateur, et d'un autre côté, je laissai toujours des commentaires d'amour, et des critiques, sur les nouvelles vidéo d'un certain site de vidéo. J'ai fait ce boulot pendant plus de deux ans déjà.

Et... je n'ai encore rien fait de concret.

Mais aujourd'hui, j’étais inhabituellement motivé !

Assis devant mon ordinateur, je mangeai le sandwich que ma mère m'avait donné ce matin tout en jetant un regard noir au logiciel d'enregistrement sur mon écran. Mon but était d’être à la première place dans un certain site de vidéo, puis une sonnerie pour téléphone et la distribuer ensuite à des karaokés, et finalement un album.... !

Après que tout ce que j'ai dit fut fait, je voulais devenir quelqu'un de reconnu, d'important.

Normalement, cette grande ambition était vaine, et au bout de dix minutes, elle tomberai en ruine, critiqué par tous*. À l'exception de l'amour de ma mère qui se trouvait dans ce sandwich, je me demandais quel ingrédient spécial il contenait. Comme si Dieu était descendu, l'effusion de phrases continua.

«  Ça ... ça se vendra à coup sûr !!»

Je dis à haute voix, et me remis à travailler sur le logiciel. Même si j'arrivai bien à composer quelque chose, j’étais rempli de peur. Depuis tout à l'heure, quelque chose que je qualifierai de " virus " virevoltait à l’intérieur de mon écran, comme s'il voulait interférer avec mon travail.

« On dirait qu'il va faire extrêmement chaud aujourd’hui. Wow ! La température maximale prévue est de 35°C au centre de Tokyo.! »

« Quoi ? Il paraît qu'il y a déjà des personnes, au centre de Tokyo, qui ont été transportées à cause de coup de chaleur. Maître, quand tu sors, tu ne dois pas oublier de prendre des mesures pour t'en protéger !»

Je suis incapable de comprendre la raison qui pousse quelqu'un à sortir par un temps pareil.

Où devrais-je dire, je suis incapable de comprendre la raison pour laquelle quelqu'un sort de chez lui?

«  Oh, et à propos de la sirène d'aujourd'hui, c'est une alerte utilisée dans un certain pays pour les menaces de niveau 4 ou supérieur. J'ai augmenté la fréquence au niveau que Maître haï le plus — »

« Que veux-tu dire par " la sirène d'aujourd'hui " ! Tu en as prévu une pour demain aussi ?! ...... Ah.»

Je n'aurai pas dû le dire... Je le sens mal.

Se déplaçant de droite à gauche dans l’écran, elle s’arrêta soudainement après avoir parlé de la météo. Elle s'approcha de l’écran le sourire aux lèvres, comme pour dire " Bingo ! " et elle continua joyeusement.

«  Oh, c'est gâché maintenant, n'est-ce pas ~? Dans ce cas, je vais devoir préparer quelque chose d'encore plus excitant pour demain ! Oh non, tu n'as pas besoin de me payer, puisque tu es mon invité.»

«  Qu'est-ce que tu es, une sorte de vendeur !? N'ai-je pas eu ce bleu à cause de toi ? N'est-ce pas à cause de cet accident que je suis blessé ?!

Et alors, qu'elle laissa échapper un rire menaçant tout en frottant ses mains, je pointai du doigt mon lamentable bleu, me référant à lui désespéramment.

Mais tout ce que je fis était vain contre elle, un point d'interrogation apparut au-dessus d'elle, elle pencha juste sa tête sur le coté tout en arborant un visage innocent.

Le 14 août à trois heures de l’après-midi. Le son de la sirène qui résonna dans toute la maison avait même réveillé ma mère.

Alors que ma mère vint en courant dans ma chambre, la première chose que ses yeux rencontrèrent fut " la jolie fille " sur mon écran, cependant les cris de colère eux dirigée vers son fils.

Les cris de colère qui résonnèrent semblaient pouvoir déranger les voisins plus que ne le pouvait la sirène. Et comme je le pensais, je vis un poing serré devant mes yeux, et ensuite on était le lendemain.

Et c'est comme cela que je suis arrivé au moment présent. Je ne m’étais pas regardé dans un miroir mais j’étais sûr que j'avais maintenant des marques de bleu sur mon visage, aussi.

« Fiche moi la paix, sérieusement... Qu'est-ce que je ferai si mon ordinateur se casse... ? Je mourrai sûrement.»

«  Aw, Maître, que c'est gentil de votre part de vous inquiéter de moi avant de vous-même ! Vous êtes directement venu me voir quand vous vous êtes réveillé ce matin, aussi, non !?

Pendant que ses yeux étincelaient, comme dans un vieux (manga) Shoujo, elle zooma en avant pour remplir tout l’écran, je criai, encore une fois, furieusement contre elle.

« Je me suis levé tôt, exprès pour te supprimer !! Aussi, si je perds mon ordinateur, je vais vraiment mourir !!

« Oh, vous êtes juste modeste... Maître est tellement un gentleman.... Et il est si ravissant !

Elle n’écoutait pas.

Elle n’écoutait vraiment pas. J'en ai vraiment marre de ça.

Comment les choses sont devenues comme ça.....

Il y a de cela un an environ, un mystérieux mail arriva d'un expéditeur anonyme. Je ne savais que cela en ce temps-là, mais après que je l’eus ouvert, ma vie est devenue si oppressante que cela en devenait presque ridicule.

Dès que "elle", qui était caché dans les données de l’émail, infiltra mon ordinateur, tout ce qu'il y avait dans le terminal fut occupé en un instant.

À cette époque je ne savais pas ce qui s’était passé. J'ignorai la fenêtre de l’application, et au moment où je pensai avoir vu une forme géométrique s’étendre sur tout le bureau, une magnifique fille, ayant des nattes avec ses cheveux bleus, se matérialisa, son corps entier brillant d'une faible lumière.

Sur le moment, je pensai qu'elle était assez " mignonne ".

Il y a eu ce moment, où je le pensais. Oui, il y avait, certainement, ce moment

Elle, qui venait d'apparaître si soudainement, dégageait une atmosphère qui caractérisait l’héroïne d'une histoire. Quelque chose comme, « Tu es celui qui m'a sauvé, non..? S'il te plaît, combattons ensemble....

À ce moment, en tant qu'habitant d'une chambre cloîtré au fin fond de la société, j’étais heureux de penser. «  J'ai tiré la carte du héros !» et qu'à partir de maintenant, je combattrai une mystérieuse organisation, et de partout des événements paranormaux commencerai à se produire, des monstres étranges commenceront à apparaître et l'on formera un groupe avec des alliés....! Pour un premier épisode quelle histoire passionnante ; C’était trop parfait pour que notre rencontre ne soit qu'un malentendu.

Où en tout cas c'est ce que l’on pourrait croire.

Bon... pas de super pouvoir qui s’était réveillé, aucun œil démoniaque ne s'ouvrit ; Rien, beaucoup moins d'alliés sont arrivés. La chose qui se rapprochait le plus de l'apparence d'un monstre était un cafard.

Et pour commencer, notre toute première conversation devait ressembler à quelque chose comme ça.

« Ah, à partir d'aujourd'hui, traite-moi bien s'il te plait~»

« Oh, ok...»

Je n'ai jamais entendu ça, dans un film d'action aventure.

On a commencé comme ça, chacun parlant dans son coin.... Bien que, ce ne fût pas si profond, on a quand même réussi à avoir une conversation décente.

«  Qu'est-ce que tu es ? Je n'ai jamais vu ou entendu parler d'un logiciel comme ça...»

À cette époque, je l'ai demandé d’une manière assez polie, et la seule réponse que j'avais eue en retour était.

« Je n'en sais rien moi-même ~»

Voilà, c’était ça notre conversation.

Mais, c’était tout de même un bon début. Puisqu'elle répondait au moins à mes questions.

Peut-être parce qu’elle s’était échauffée au bout d'une semaine, mais son comportement excentrique devint de plus en plus notable car elle commençait à interférer avec mon travail et à me harceler ouvertement. Le dossier dans lequel j'avais accumulé, des lyrics embarrassants et sentimentaux avait été renommé " PIED DE PORC ", et le dossier qui contenait ma collection d'images soigneusement sélectionnées fut changé en " cimetière de Désir Sexuel "......

Il a fallu un mois pour qu’Ene renomme tout ce qui se trouvait dans mon PC, et même la démo de la musique que j'avais réalisée a vu son nom changer pour un titre si sentimental, que cela faisait pouvait faire croire que je pensais à quelque chose comme « Si je peux faire un album avec cela, alors je pourrais inventer un tout nouveau genre de musique....

Naturellement, je gardais en moi des cris de colère à chaque fois, si souvent que ma gorge en brûlait, mais puisque il semblait que cela n'aurait aucun effet, je ne les vocalisai pas.

«  Hey.... tu as changé mon mot de passe, non ?

Depuis ce jour, je n'avais pas été capable de me connecter dans le site de vidéo. Mais, je ne me rappelle pas l'avoir changé. Quand des choses comme ça arrive, elle est souvent la personne a blâmé.

« Ohh! Comme je m'y attendais de vous, Maître ! Je suis si heureuse que vous l'ayez remarqué ! »

«  Remets mon ancien mot de passe... Maintenant...»

« Oh, aller, il n'y a rien de pressant, non ? Ceci étant dit, j'ai préparé quelque chose de spécial !»

Une boîte demandant « Voulez vous sauvegarder ?» apparut, l'option "Non" était sélectionnée, et en un instant toutes les fenêtres affichées sur l'écran furent non pas réduites, mais fermées.

« Gyaaaaaah !!!»

Après ça, un quiz à quatre choix apparut sur l’écran.

« Bon, première question : Si tu réponds à ça correctement, je te dirai le premier mot de p— »

« Est-ce que t'es stupide ? Je vais mourir, tu le sais ça ? Oi!! Ma chanson!! Oi!! »

Je me levai de ma chaise et criai sur l'écran. Je me demandai, à quel point je semblai ridicule en faisant ça. La personne en face de moi avait une expression qui semblait dire. « Wow... Quelle personne dangereuse...»

C'est de ta faute si j’agis comme ça, d'abord.

« Haa...aah ~.....»

Perdant soudainement ma force, j'allongeai ma tête sur le bureau. À cet instant, je sentis que mon coude toucha quelque chose.

« Ah !! Maître, Maître !! Votre boisson !!»

« Eh ?»

—— Mon soda partiellement consommé s’était renversé sur mon clavier et ma souris.

Pour la deuxième fois maintenant, un cri résonna dans la chambre.

Je tapotai minutieusement mon clavier avec des mouchoirs en papier. Le liquide sucré l'avait trempé, causant le pire des scénarios à se dérouler dans mon esprit.

Cela ne servait à rien d'y penser. Maintenant, je devais me concentrer pour le sauver avec mon corps et mon âme !

Je finis d’essuyer, puis j'appuyai désespéramment sur toutes les touches du clavier. Seules les touches "o, r, t" marchaient.

Il sembla qu'il était trop tard. Des larmes de regrets coulèrent sur mes joues.

« Maître ! La souris, la souris !»

Cette voix me rappela. C'est vrai, il y a peut-être encore une vie que je pourrais sauver !

Retenant mes larmes, je pris la souris.

«  Je t'en prie....! Reviens.... !»

Je continuai de l'essuyer avec dévouement. Une durée de temps s’écoula, et encore une fois, je vérifiai s’il y avait une réponse. Seul le clic droit marcha. Le menu apparut d'une façon presque moqueuse.

À quel point ce monde peut-il être déraisonnable ?

Qu'ont-ils fait pour mériter ça ? C’était juste trop cruel.

« Oh ! Maître, vous pouvez écrire tororo ! Ah, attendez, totor—»

« Arrête ... juste ... de parler ....»

Je voulus juste disposer de mon ordinateur, et elle avec, mais je mourrai si je le fais. Mes mains couvrirent mon visage alors que je m'apitoyai sur mon sort, me laissant engouffrer par la colère qui n'avait pas de pore par lequel s’échapper.

——— Un moment de silence. Le son de l'air conditionné remplit la chambre, portant de l'air frais qui me rafraîchit le corps entier. Bon. Voilà la chose la plus ennuyante avec elle. Par le passé, à chaque fois que je ne pouvais plus la supporter à cause de son étrange comportement, je l’effaçai. Cependant, il devait y avoir des sauvegardes d'elle sur Internet, donc aussi longtemps que mon ordinateur y était connecté, elle pouvait toujours revenir après s’être faite effacer. Alors dans ce cas, peut-être que la solution est de me déconnecter d'Internet. Bien sûr, il était évident que je ne pouvais supporter quelques heures de ce genre de cet enfer. Et c'est ainsi, que ce cercle vicieux naquit.

J’étais sûr qu'elle était une menace créée par quelqu'un. Une ennemie, d’où le nom " Ene ". Je ne savais pas qui il pouvait être... mais pour donner une personnalité si ridicule à une Hyper AI* comme elle, il devait certainement être quelqu'un de déplaisant.

« Phew...» J'expirai. J'ai tout tenté contre elle, plusieurs fois déjà. Mais, aujourd'hui il y avait trop de choses qui s’étaient empilées. N'importe qui d’autre serait devenu fou s'ils étaient sujets à son niveau excessif de harcèlement. Je pensais que c’était déjà assez impressionnant, pour moi, d'être arrivé si loin.

Je voulais quelqu'un pour me faire des éloges, mais malheureusement, j’étais seul. En tant que Hikkineet*, c’était sans espoir.

Je me demandai combien de temps passa alors que ces pensées futiles trainaient dans ma tête. Soudainement, je remarquai qu'il y a eu un étrange silence. Bien que, je lui aie dit d’arrêter de parler, c’était rare qu'elle écoute ce que je lui disais. Lentement, je dirigeai mes yeux vers elle.

Au milieu de l’écran se trouvaient des informations sur les dates de livraison de plusieurs sites d’électronique. Cependant, ce n’était pas ça qui me surpris. Ce qui me surprit était qu'elle me lança un regard furtif, la tête inclinée vers l'avant comme pour s'excuser.

Le moment où nos yeux se rencontrèrent, elle détourna son regard, murmurant, « Ah, euh, um....» et pointa du doigt le clavier et la souris déjà mort.

« Euh... Je ne pensais pas que ça irait si mal... Je voulais juste te faire une petite farce, donc...»

De quoi était-elle entrain de parler...? Étant confus, je penchai ma tête sur le côté, mais quand j'ai ensuite vu qu'elle attendait une sorte de réponse, j'ai finalement compris.

« Euh... ? Te sens-tu coupable de ce qu'il s'est passé …?”

« ...Ah !»

Surprise, elle baissa immédiatement les yeux.

Ses jambes se tortillaient, et pour une raison qui m’échappa, ils me rappelèrent le sentiment que j'ai ressenti lors de notre première rencontre, et je détournai mes yeux, aussi. Une tension mystérieuse se forma entre nous. D-Dans tous les cas, je devais dire quelque chose... !

« Puisque, c'est trop tard, on ne peut rien y faire.... E-Et puis ils devenaient vieux, alors j'avais pensé que je devais bientôt les changer de toute façon...»

Alors que, je venais de parler et redirigeai mon regard sur l’écran, elle me tourna déjà le dos et elle était en train de chercher parmi les sites de livraison.

« Vraiment ~?! Je pensais justement à comment tu te sentirais mieux si tu en avais de nouveau ! Au fait, c’était un miracle qu'ils aient duré aussi longtemps ~. Je dirai que c'est une mort paisible, ne le penses-tu pas ?!

J’étais bouche bée.

Avais-je déjà ressenti un sentiment si ambigu ?

Ce n’était ni une colère extrême ni de la tristesse, mais seulement une impression de vide qui traversait mon cœur.

« Huh? Oh, ce n'est pas bon ~...»

Alors que je commençai à céder à cette sensation, son commentaire soudain m'en tira.

«  Qu'est-ce qu'il y a ? Tout m'ira tant que ça marchera, alors dépêche-toi de me trouver un site qui fait des livraisons aujourd’hui.»

« À propos ... je pense que je suis un peu à blâmer.»

« Bien plus que : un peu.»

« Maître, puisque je pensai que vous alliez mourir d'ici un ou deux jours sans ça...»

« Ouais, en gros c'est ça.»

« J'ai donc essayé de regarder les dates de livraison, mais.... Maître, quelle est la date aujourd'hui ?»

« Hm ? On est le 14... non ? Je pense que c'est....ah !»

Étonné, je regardai sur tous les résultats de la recherche qui étaient affichés sur l’écran.

Il était écrit sur tout "Pas de livraison possible à cette date"

« C'est le festival d'Obon*, donc aucun d'eux ne fera de livraison jusqu'à après demain.»

Je pouvais sentir qu'un vertige allait bientôt me prendre.

« Après demain... ? Deux jours....?»

Ne pouvant rien faire, je me penchai en arrière sur ma chaise.

Deux jours. Pour une personne normale, cela ne semblerait pas spécialement long.

Cependant pour moi, il n'y a pas plus long.

C’était comme passer deux jours sans manger.

Ou deux jours sans dormir

——— Sauf que, c’était quelque chose d'un tout autre niveau.

C’était comme si on m'avait ordonné de m’arrêter de respirer.

Pouvez-vous retenir votre respiration pendant deux jours ? Non, ça ne devrait pas être possible.

Depuis que j'ai commencé à vivre comme ça il y a deux ans, mon corps était pratiquement inutile sauf si j'avais accès à Internet. Bien que, je possédasse un téléphone, pour une certaine raison, la réception dans notre maison était très mauvaise. Où peut-être devrai-je dire, je ne l’avais pas assez longuement utilisé, je ne savais même pas s'il fonctionnait encore proprement.

C’était bien que l'ordinateur en lui-même ne soit pas cassé, mais le terminal de commande étant mort, c’était une boîte quasiment inutile. Si la personne se trouvant dans l’écran était un peu plus sympathique, cette situation ne serait probablement pas si sérieuse. Si seulement je pouvais lui donner des instructions et qu'elle veuille effectuer ces opérations pour moi.

Cependant, devoir passer deux jours avec elle mènera probablement à ma mort via un gigantesque trou dans mon estomac dû au stress ou quelque chose d’autre.

Jusqu’à maintenant, j'ai été capable d’empêcher la création du trou en l'ignorant tout simplement et ce à chaque fois qu'elle m’adressait la parole, mais ne devrais-je pas être obligé de lui demander de m'aider à partir de maintenant ? Si je lui proposai cette idée, elle accepterait probablement, les yeux étincelant comme si elle venait d’acquérir un nouveau jouet, le jouet étant moi évidemment.

Au fait, elle me regardait déjà bizarrement depuis tout à l'heure, comme pour dire, « Aller... tu n'as plus d'autre choix, non .... Aller fait-le .....! »

——— Deux choix se présentaient devant moi.

Devrais-je disposer de mon ordinateur et mourir, ou mourir une fois que je serai devenu son jouet ?

« Mes options sont nulles ...»

Un sentiment de désespoir s’échappa de ma bouche au même temps qu'un soupir.

Pour être honnête, même moi je trouve ça ridicule, mais je pense que je mourrai si je me déconnecte. Je ne rigole même pas. Des larmes commencèrent à se former dans mes yeux quand je vis que la mort était ma seule option dans cette situation extrêmement débile.

«  ... Alors~»

« Qu'est-ce qu'il y a ... ?»

« Euh.... Je suis sûr que l'on pense à la même chose, mais... puisque c'est moi qui ai un peu dépassé les bords cette fois....»

Alors qu'elle dit cela, elle inclina encore une fois la tête vers l'avant, comme quand elle m'avait piégé tout à l'heure, combiné avec plus, de mouvement, de gigotement.

« Tu ne varies même pas tes excuses ! Tu ne m’auras plus maintenant !»

« N-non, vraiment !! Attends une minute, je dis la vérité ! Je le regrette vraiment ! Pour me faire pardonner je ferai tout ce que tu voudras pour trois, voire quatre, jours !

Elle commença à dire des choses qui ne lui ressemblaient pas, et elle avait fait zoomer l’écran sur son visage, pour rendre cela plus dramatique.

«  Huh ?

« Je veux dire, jusqu'à que la livraison arrive, ça ne me dérange pas de remplacer ton clavier, ou ce que tu veux ! Je ne te dérangerai plus aussi ! Je ferai tout ce que tu me diras de faire... ! Vraiment, je le ferai...»

Les larmes aux yeux, l'écran zooma encore plus sur son visage.

Elle... ! Elle avait ce genre de variation ...?

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Partie 2 ː[edit]

Pour que le cœur d'un garçon vierge de 18 ans batte si rapidement à cause de quelque chose comme ça. Pitoyable.

Cependant, alors que je pensais cela je ne pouvais pas abandonner maintenant, elle recherchait sérieusement les sites de livraison depuis un moment déjà, peut être se sentait elle un peu coupable... ?

Juste au moment où je commençai à penser cela, je remarquai que des mots s’étaient affichés derrière elle.

Qu'est ce que c’était... ?

Quand je regardai la fenêtre derrière elle, en bas à gauche, l'application du quiz à quatre choix était entrain d’être réécrit.

" Question #1 :

Si tu réponds cette question correctement, je révélerai un lettre du mot que Maître veux chercher ! Cependant, si tu réponds incorrectement, je publierai la collection de photo "précieuse" de Maître, une par une, sur Internet à la vu de tous. Par conséquent, réfléchis bien avant de répondre ——"

« ... Oi.»

Ses yeux continuèrent de se remplir de larmes, et elle pencha sa tète sur le coté d'une façon adorable.

Cependant, je ne ressentais plus rien du tout.

« Cette chose derrière toi.»

« ... ? ... Ah !»

Surprise, elle se retourna et ferma l'application, et comme si rien ne s’était passé, elle se remit à me regarder avec ses larmes aux yeux. Son expression devint plus maladroite qu'avant, et les larmes dans ces yeux avait augmenté.

« ........»

« U-umm~... ?»

« ... J'en ai marre.»

« Eh ?»

— Deux ans. Je devins sentimentale parce que je commençai à me rappeler de certains souvenirs, mais je n'avais plus le choix; Je devais faire ça afin de survivre

Je me levai de ma chaise et ouvrit mon armoire. Parce que je n'allai jamais même pas dans le voisinage, je n'avais donc que quelque ensemble d'habits pour me changer. Pour cette raison, je n'utilisai presque jamais mon armoire.

Mais aujourd'hui... juste pour aujourd'hui, je l'ouvrirai.

« M... Maître !?»

Derrière moi j'entendis une voix surprise, dans un ton qui était utilisé pour dire "Non, il ne va pas faire ça !!»

Je regardai mon parka à capuche et à mes pulls qui étaient nettement disposé.

Mes souvenirs d’isolation de cette époque quand j'avais l'habitude de porter ces habits refirent soudainement surface.

« Ugh ....»

Alors que je me souvenais de certaines choses de mon passé, j'ai été frappé par une sensation similaire à celle d'une vielle blessure lancinante. Je secouai violemment ma tête, et pris le jersey qui était tout au fond à droite, et je fermai l'armoire.

Je sortis des pantalons et des shorts (ressemblant à ceux de l'armée) qui étaient bien plié. De là, je choisis un pantalon militaire, et une fois de plus, je fermai le tiroir.

« Maître ! Qu'est ce que vous avez !?»

J'enlevai les habits que je portai jusqu'à la, et quand je commençai à mettre les habits que j'avais choisi, elle paniqua comme si j'avais fait quelque chose de grave.

« Vous ne vous étiez jamais comme cela auparavant ! Qu'est ce... Qu'allez vous faire ?»

« .... Du shopping.»

« Eh... ,»

« Je vais faire du shopping ! Pourquoi, tu trouves ça bizarre !?»

« Shop...ping...?»

On dirait qu'elle ne s'attendait pas à cette réponse.

A quoi d'autre elle pouvait penser que j'allai faire après m’être habiller ?*

« Ouai, c'est ça... Je vais juste aller l'acheter moi même. Puisque tu n'a été d'aucune aide.»

« Shopping... !? Tu m’as bien surprise ! Je pensai que tu sortais pour mourir ou quelque chose comme ça.»

« Mais non ! Quel genre de personne mourrai à cause d'un soda qui s'est renversé sur un clavier ?!»

« Bah... Maître, par exemple...»

« ... Pas faux....»

Cela ne semblait pas quelque chose que je ne ferai jamais. Bien que ce soit triste, j'avais déjà considéré faire cela il n'y a pas très longtemps.

On continua notre discussion pendant que je m'habillai.

« ... Mmh, je pense que ça fera l'affaire.»

Je tirai vers le haut la fermeture éclaire jusqu'au maximum, et en ayant fait ça, je fini de me changer.

Les habits que je venais de porter me rendait un peu nerveux pour une raison que j’ignore, comme si je les portais pour la première fois.

« Wow~! T'a l'air vachement cool !! Même si cela met fin à ton ancien look.»

« Oh... vraiment ? C'est bon comme ça... ?»

« Ça te va très bien ! Tu es beau comme ça !»

« Vraiment ? Je me sens un peu embarrassé maintenant...»

Alors que j’étais embarrassé, je tournai ma tète vers l’écran pour voir des images de top model. Et de l'autre coté de ces images j'entendais une voix dire, « Tu as vraiment l'air cool !! Tes goûts sont aussi étranges que je le pensais !»

« Tu me fais déprimer la, ... tais toi juste.»

« Eh ? Pourquoi ?»

« Oublie...»

En un instant tout mon enthousiasme pour cette sortie me fut enlevé. Cependant, je n'avais pas l'intention de baisser les bras à ce point.

Je pris le sac qui était accroché sur mon placard, et le mit autour de mon cou.

J'avais fini la majorité des préparations. Je n'avais plus qu'à prendre mon porte feuille.

« Voyons voir, porte feuille, et ... Je n'ai besoin de rien d'autre.»

Je pris mon porte feuille, que j'utilisai que quand je commandai quelque chose, d'en dessous mon lit.

« Je pense que c'est tout. Phew... Bon, il est temps d'y aller maintenant.

Je pris une grande inspiration, et approchai la porte de ma chambre.

« A-Attendez une minute, Maître !!»

Au moment où j'avais mis ma main sur la poignée, j'entendis une voix me disant d'arrêter, et je me retournai vers mon ordinateur.

« Quoi.... ? J'y vais, donc fais pas de choses bizarres pendant ce temps.»

« Euh... Um, ta dernière sortie ne remonte elle pas à très longtemps ? C'est pour ça, que je pensais que… um... Deux personnes ne devraient elles pas mieux s'en sortirent qu'une seul personne.

« Deux ? Ce n'est pas comme si j'avais une personne à inviter.»

Après avoir vécu deux ans comme ça, je n'avais pas d'ami à contacter. Et même si j'en avais, ce n'est pas comme si j'allais les inviter.

« Non, ce n'est pas ce que je voulais dire... Umm... Je veux dire que, si c'était moi, je pourrai servir de navigatrice ou quelque chose d'autre, donc...»

La manière dont elle se comportait semblait fortement insinuer quelque chose. Bien sur, c'était évident qu'elle essayait de me dire de la ramener avec moi, mais qu'est ce que j'étais supposé faire ? Porter mon ordinateur avec moi ?

« Comment t'es supposé venir ? Je t'emmène avec moi, alors sors, si tu peux.»

« Eh ? Vraiment !? Okay, alors je sors de suite... !»

Elle sourit, pointant du doigt la petite commode à coté de mon lit.

—— Sur celle ci était posé un téléphone tactile.

Une chaude journée. Une vraiment, chaude, journée d'été. L'été a-t'il toujours été aussi chaud ? Ayant été béni par l'air conditionné en intérieur jusqu'à récemment, je jaillissais à présent tellement de sueur que je pensais que je pouvais l'entendre grésiller. Cela ne faisait que vingt secondes. Bien que je sois parvenu à sortir, mes points de vie diminuaient sous mes yeux.

« Ah~ test, test. Maître, pouvez-vous m'entendre ? Ah~ ah~ » « ......Devrais-je rentrer maintenant......? » « Eh ? Vous avez dit quelque chose ? S'il vous parlez un peu plus près~ » « Non...... Ce n'est rien...... »

La propriétaire de cette voix indifférente ne pouvait probablement même pas sentir la chaleur. C'était quelque chose pour laquelle on pouvait l'envier. Portant des écouteurs, ainsi qu'ayant mon téléphone mis en place presque comme un émetteur-récepteur, je me demandais si je ressemblais à un stratège qui effectuait une opération. Jouant la sirène qui a été utiliée ce matin, j'ai été menacé de recruter des amis sur le tableau d'affichage de la page d'accueil de mon lycée en utilisant mon vrai nom, et, à la fin, a été contraint de donner pour l'amener. Sur l'écran d'accueil, Ene souriait d'une oreille jusqu'à l'autre comme si elle était le fond d'écran du téléphone. Toutefois, elle ne semblait pas avoir une quelconque intention de jouer calmement ce rôle, et était plutôt en train de se déplacer rapidement. Penser que le jour viendrait où je serais forcé dans une opération par un programme...... Bien que l'opérateur était plus comme une certaine sorte de terrible, fléau moderne.

Arrivant aux voies publiques, je me suis finalement souvenu de la puissance de l'attaque de l'été. Plus loin sur la route, la brume de chaleur se balançait. J'avais l'impression d'être comme une créature du Pôle Nord ou de l'Antarctique se sentirait si elle était soudainement jetée dans la savane.

"Chaud." L'humidité exacte ou la température n'avait pas d'importance.... C'était juste "chaud." "Es-tu sérieuse.....? L'été a-t'il toujours été comme ça......?" "Ne vous l'ai-je pas dis plus tôt ? Aujourd'hui, il semble qu'il y a un certain nombre de personne qui ont été transportées à l'hôpital à cause d'un coup de chaud. Ah, Maître, avez-vous emporté votre carte d'assurance ?" "Je l'ai prise... donc ça va aller si je suis transporté à un quelconque moment, mon dieu...." Quand j'ai quitté la maison, j'ai apporté diverses choses donc je serais préparé si quoique ce soit arrivait. Même dans le cas du pire scénario où je m'evanouirai quelque part, j'avais mon identifiant sur moi.

"Ohh ! Alors il n'y a rien à craindre ! Maintenant, marchons vite !" "C'est vrai.... ―attends, pourquoi est-ce que tu dis ça ?! C'est de ta faute en premier lieu si―" "Ah ! Maître, vous devriez tourner à droite de l'intersection juste maintenant ! À droite !" "Eh ? La route juste là ? Oh, au temps pour moi... Curieusement, je ne me souviens pas du tout de la route. Honnêtement, je ne sais plus quel chemin est qui." "Maître n'est vraiment pas sorti dehors, n'est-ce pas? La dernière fois que vous êtes sorti dehors était il y a deux ans, pas vrai ? La carte a complètement changé depuis, vous le savez ?" Étant trop concentré sur la chaleur, je ne l'ai pas vraiment remarqué, mais cela semblait avoir changé considérablement.

Il y avait un bâtiment ridiculement énorme d'une certaine sorte, et plusieurs immeubles d'appartements nouvellement construits ; le peu d'informations dont je me souvenais étaient à présent complètement inutiles. Était-ce qu'ils appelaient le développement urbain ? J'avaisvécu dans cette ville pendant longtemps, mais il n'aurait pas été possible que les choses soient modifiées aussi radicalement en seulement deux ans. Ou peut-être était-ce parce que j'avais été confiné dans ma chambre, que c'était juste la différence que je ressentais de sortir pour la première fois depuis si longtemps ?

Presque comme si ma propre ville était refaite par quelqu'un, peu à peu. J'ai été frappé par ce genre de sensation.

Les résidents de cette ville, moi inclus, vivent probablement leur vie quotidienne sans même remarquer ces changements. En pensant à cela, je suis retourné à l'intersection, tourné à droite comme on m'a dit, et ai vu la rue principale. Étonnamment, ma maison était située dans un assez bon emplacement par rapport à ici. La quantité de trafic était raisonnablement élevée ici, et beaucoup de gens l'empruntaient. Dans la rue qui passait entre les bâtiments de chaque côté, la façon dont les gens apparaissaient et disparaissaient de gauche à droite, et de droite à gauche, n'avait pas l'air très différent de l'écran d'accueil que je regardais tous les jours.

"Umm, dans la suivante rue, allez à gauche la route jusqu'aaaau bout. Et puis, à droite―...... Maitre?" "Eh ? Oh, o-ouais. Je vois. Donc, vers quel chemin je vais maintenant ?" "Comme je le disais, la rue suivante est à gauche ! Et après ça, c'est à droite ! Qu'est-ce qui ne va pas, Maître ? Vous avez beaucoup d'absences... Se pourrait-il que vous ayez déjà eût un coup de chaleur ??!" "Non, ce n'est pas ça. Je pense que j'ai juste un sentiment étrange.... Y a-t-il vraiment un grand magasin là-bas??" Il n'y avait pas de grand magasin là-bas il y a au moins deux ans. Quand j'envisageais d'acheter de l'électronique, je me souviens toujours avoir à faire un assez long voyage pour cela. "Je n'en ai aucun doute. Umm... sur la page d'accueil, 'Le grand magasin dans votre ville ! Du mobilier aux appareils ménagers en passant par les ustensiles de cuisine, nous stockons tout' c'est ce qui est écrit. ......Oh ! Mais il est seulement ouvert depuis le printemps dernier." "Oh..... Pas étonnant que je ne savais pas. Mais pourquoi est-ce dans un endroit comme ça....." "Hm~ Mais les zones environnantes semblent être activement développées. Si vous allez à un peu à droite à partir d'ici, il y a un grand hôpital, et avant ça il y a une nouvelle école... et de l'autre côté de l'école se trouve une grande librairie. Il semble que tous ces bâtiments ont été commencés l'année dernière, et finis cette année à peu près en même temps." "Quelque chose comme ça est possible !? D'une certaine manière, cela semble vraiment avoir changé... Oh, on est presque à la rue principale...?" Après avoir quitté la rue à sens unique, le panorama de la ville s'étend devant moi.

Des panneaux d'affichage, des arbres aux bord des routes, des bureaux et des restaurants. Un étudiant en uniforme, un employé de bureau s'excuse profusément à travers un téléphone cellulaire dans une main. Tout cela émet du bruit, du bruit, et du bruit. De cette variété d'informations inutiles, j'ai ressenti quelque chose comme des vertiges

"Ohh.... Cela semble déjà impossible. Devrions-nous rentrer ? Ok, rentrons." "Il y a beaucoup de gens. C'est donc le pouvoir de la fête de l'Obon. Faisons de notre mieux!" "Tu n'écoute vraiment pas ce que je dis, n'est-ce pas ? .... Ahh~ Il y a vraiment beaucoup de gens..." Alors qu'il y avait une maintenance en cours, par rapport au sentier d'avant, c'était beaucoup plus facile de marcher sur le trottoir, sous l'ombre des arbres au bord de la route.

Toutefois, les gens et les voitures qui passaient dans les rues faisaient augmenter considérablement la température de mon corps. Tout en marmonnant et rouspétant, je suis allé dans la rue et approché une intersection massive. "À la fin, n'allez-vous pas, 'Je meeuurs~ Je meeuurs~,' si vous êtes à la maison ? Soyez un petit peu plus patient !" "Toi-...... ahh, c'est inutile. Je ne veux pas gaspiller mon énergie à essayer de te parler plus. Oh, c'est vert maintenant. Devrions-nous traverser.....?"

Quand j'ai traversé l'intersection une fois que le feu est passé au vert, j'ai vu un parc un peu plus loin face à moi. Une balançoire, une aire de jeux, une fontaine, etc ; il y avait un paquet de beaux équipements de terrain de jeux alignés que les enfants ne seraient problament pas en mesure d'aider mais plutôt de se précipiter pour jouer dessus. Tandis que je continuais, j'ai vu un aperçu d'un grand, distinct panneau d'affiche au-dessus du côté droit de l'énorme, bâtiment du département qui avait été précédemment dissimulé par les arbres au bord de la route. "Ç-ça a l'air beaucoup plus grand que je ne le pensais....! Ils ont vraiment construit quelque chose comme ça?....?"

"C'est parce qu'il semble être le plus grand magasin de la région ! Que diriez-vous de voir pour des vêtements, aussi ?" "Idiote ! Ne t'ai-je pas dis que je sortais seulement pour aujourd'hui ?Je suis dégouté de ce monde chaud." "C'est vrai ~! Je pensais que vous diriez ça ! Vraiment, si Maître disait qu'il allait acheter des vêtements, je devrais composer le 119 *² !" " Suis-je un homme des cavernes !? J'achète des vêtements, au moins ! Idiote !" "Ohh, alors irons-nous les regarder ?" "N-non... c'est bon pour aujourd'hui..." Dès que j'ai dit ça, j'ai entendu un gloussement qui sonnait comme, "Pukkuku....." Sentant mon visage devenir rouge, j'ai fourré mon téléphone portable dans ma poche. "Uwaa ! Maître, c'était une blague ! Revenons une autre fois, d'accord ?" À cause du fait que le téléphone portable était dans ma poche, elle ne pouvait probablement pas entendre ma voix. "Une autre fois...... ouais." j'ai réussi à marmonner. Utilisant le panneau d'affichage comme point de repère, j'ai vu une autre énorme intersection à deux voies. Séparé par la rangée de bâtiments sur le côté droit, le bâtiment du ministère est apparu de l'autre côté de l'intersection.

――L'image complète ne pouvait être décrite que par un seul mot : "gigantesque."

Partie 3ː[edit]

En cours.

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