Difference between revisions of "Zero no Tsukaima (version française):Volume2 Chapter1"

From Baka-Tsuki
Jump to navigation Jump to search
Line 17: Line 17:
 
Le Jardin Secret était l'unique lieu où Louise se sentait à l'aise. C'était tranquille, avec personne aux alentours. Il y avait des fleurs écloses partout et des oiseaux se regroupaient sur les bancs près du lac. Et au milieu du lac il y avait une petite île sur laquelle se trouvait une petite maison en marbre blanc.
 
Le Jardin Secret était l'unique lieu où Louise se sentait à l'aise. C'était tranquille, avec personne aux alentours. Il y avait des fleurs écloses partout et des oiseaux se regroupaient sur les bancs près du lac. Et au milieu du lac il y avait une petite île sur laquelle se trouvait une petite maison en marbre blanc.
   
  +
~5%~
 
  +
~5% = Vaelis~
  +
  +
  +
Il y avait à côté de l’ile un bateau utilisé à l'origine pour le loisir, mais qui maintenant était abandonné et oublié. Ses sœurs aînées avaient grandi et étaient occupés à étudier la magie. Son père, qui s'était retiré de ses fonctions militaires, consacrait le plus clair de son temps avec la noblesse voisine. Son seul passe-temps était la chasse au gibier sauvage. Quand à sa mère, son unique intérêt était d'enseigner à ses filles. Elle se moquait de tout le reste.
  +
  +
Par conséquent, outre Louise, personne n'était jamais venu au lac oublié et encore moins se rappelait-on de ce petit bateau. C’est la raison pour laquelle lorsque Louise était réprimandé, elle venait à cet endroit.
  +
  +
Dans le rêve de Louise, une plus jeune version d’elle-même sauta sur le bateau et se blotti dans une couverture qui avait été auparavant préparé.
  +
  +
Alors qu’elle était cachée à l'intérieur de sa couverture, un noble vêtu d'un manteau apparu de l'île couverte de brume.
  +
  +
Le noble avait environ seize ans. Dans le rêve de Louise, elle avait seulement six ans. Une différence de dix années les séparait.
  +
  +
«Est-ce que tu pleures, Louise? » Son visage ne pouvait pas être vu puisqu’il était couvert par un large chapeau.
  +
  +
Mais Louise savait exactement qui il était: il était le vicomte, le noble qui venait d'hériter des terres autour de sa demeure. Louise senti une douce et bizarre chaleur à l’intérieur de son corps; le vicomte était l'homme de ses rêves. Ils avaient souvent fréquenté des banquets ensemble et, en outre, leurs pères les avaient déjà mis ensemble dans un futur engagement.
  +
  +
« Est-ce que c’est vous, vicomte-sama? »
  +
  +
Louise hasardement couvrit son visage, ne voulant pas que l'homme de ses rêves la voie pleurer. Ce serait embarrassant.
  +
  +
« J'ai été invité par votre père aujourd'hui concernant l'engagement. »
  +
  +
Entendant cela, Louise était tellement embarrassé au point qu'elle n’osa même pas lever la tête.
  +
  +
« Vraiment? Mais ce n’est pas possible, vicomte-sama. »
  +
  +
«Louise, ma petite et mignonne Louise, tu me détestes? » dit le vicomte en plaisantant.
  +
  +
Louise secoua doucement la tête et dit confusément: «Non, ce n'est pas cela. C'est juste que je suis encore jeune et je ne suis pas prête ... »
  +
  +
Le visage caché sous le chapeau révéla un sourire et l’homme tendit sa main vers Louise.
  +
  +
« Vicomte-sama. »
  +
  +
«Mademoiselle, s'il vous plaît prenez ma main. Aller… le banquet est sur le point de commencer. »
  +
  +
« Mais ... »
  +
  +
«As-tu été à nouveau réprimandé? Ne t’inquiètes pas. Je vais en parler à ton père. » déclara le vicomte.
  +
  +
Louise hocha la tête, se leva et tendit sa main au vicomte. Quelles grandes mains, ne sont-elles pas celle qu'elle rêvait toujours de tenir?
  +
  +
Alors qu’elle était sur le point de saisir la main du vicomte, un coup de vent souffla le chapeau de la tête du vicomte.
  +
  +
« Hein?! » Louise regarda son visage, perplexe. Parce que c'était un rêve, Louise se retrouva tout d’un coup dans son corps de seize ans.
  +
  +
«Qu'est-ce ... Qu'est-ce que tu fais ici? »
  +
  +
La personne en dessous du chapeau n’était pas le vicomte, mais son familier, Saito.
  +
  +
«Louise, viens vite. »
  +
  +
« Ce n'est pas grave si je viens ou pas, pourquoi es-tu ici? »
  +
  +
"Ne soit pas aussi étroite d'esprit, n’es-tu pas déjà tombé amoureuse de moi?» répondit Saito, qui était impudemment habillé avec les vêtements du vicomte.
  +
  +
On peut se demander d’où il a obtenu sa soudaine confiance.
  +
  +
« Ne sois pas aussi stupide, j'étais juste écervelé à ce moment-là, tu ferais mieux d’arrêter de rêver! »
  +
  +
«Arrête de faire des excuses, ma Louise. »
  +
  +
«Qui est Ta Louise? »
  +
  +
Saito fit semblant de ne pas l'entendre du tout et au lieu s'approcha de Louise.
  +
  +
«Qu’est-ce que tu essais de faire, imbécile? »
  +
  +
Ignorant ses plaintes, Saito procéda à soulever Louise dans ses bras, qui était dans le bateau.
  +
  +
«Pourquoi est-ce que c’est toi? » demanda-t-elle avec frustration tandis qu’elle frappait Saito. Mais Saito ne se fâcha pas du tout, plutôt son sourire s'élargit. Ce fit tourner Louise rouge de gêne. Elle ne savait exactement pas pourquoi, mais elle se sentait bien dans les bras de Saito. Ce fat Louise encore plus anxieuse.

Revision as of 19:51, 23 November 2011

Chapitre Un : Un Bateau Secret

Louise était allongée sur son lit. Elle rêvait qu'elle se trouvait dans son pays natal, à trois jours de trajet de l'académie de Tristain, où elle était née.

La jeune Louise dans son rêve était en train de courir près de la maison.

“Louise, où es-tu ? Montre-toi maintenant !” criait sa mère. Dans son rêve, Louise se faisait réprimander à cause de ses médiocres résultats dans ses études magiques. Elle était constamment comparée à ses soeurs, qui avaient eu de bien meilleurs résultats qu'elle.

Louise vit une paire de chaussures sous les buissons.

“Mademoiselle Louise est vraiment mauvaise en magie !”

“En effet. Pourquoi ne peut-elle pas être comme ses deux grandes soeurs qui sont si bonnes en magie ?”

Louise, en entendant cela, se sentit triste et déprimée alors qu'elle se mordait les lèvres. Les domestiques avaient commencé à la chercher dans la végétation. Louise faisait de son mieux pour s'échapper. Elle se réfugia dans le lieu qu'elle appelait le “Jardin Secret” – le lac central.

Le Jardin Secret était l'unique lieu où Louise se sentait à l'aise. C'était tranquille, avec personne aux alentours. Il y avait des fleurs écloses partout et des oiseaux se regroupaient sur les bancs près du lac. Et au milieu du lac il y avait une petite île sur laquelle se trouvait une petite maison en marbre blanc.


~5% = Vaelis~


Il y avait à côté de l’ile un bateau utilisé à l'origine pour le loisir, mais qui maintenant était abandonné et oublié. Ses sœurs aînées avaient grandi et étaient occupés à étudier la magie. Son père, qui s'était retiré de ses fonctions militaires, consacrait le plus clair de son temps avec la noblesse voisine. Son seul passe-temps était la chasse au gibier sauvage. Quand à sa mère, son unique intérêt était d'enseigner à ses filles. Elle se moquait de tout le reste.

Par conséquent, outre Louise, personne n'était jamais venu au lac oublié et encore moins se rappelait-on de ce petit bateau. C’est la raison pour laquelle lorsque Louise était réprimandé, elle venait à cet endroit.

Dans le rêve de Louise, une plus jeune version d’elle-même sauta sur le bateau et se blotti dans une couverture qui avait été auparavant préparé.

Alors qu’elle était cachée à l'intérieur de sa couverture, un noble vêtu d'un manteau apparu de l'île couverte de brume.

Le noble avait environ seize ans. Dans le rêve de Louise, elle avait seulement six ans. Une différence de dix années les séparait.

«Est-ce que tu pleures, Louise? » Son visage ne pouvait pas être vu puisqu’il était couvert par un large chapeau.

Mais Louise savait exactement qui il était: il était le vicomte, le noble qui venait d'hériter des terres autour de sa demeure. Louise senti une douce et bizarre chaleur à l’intérieur de son corps; le vicomte était l'homme de ses rêves. Ils avaient souvent fréquenté des banquets ensemble et, en outre, leurs pères les avaient déjà mis ensemble dans un futur engagement.

« Est-ce que c’est vous, vicomte-sama? »

Louise hasardement couvrit son visage, ne voulant pas que l'homme de ses rêves la voie pleurer. Ce serait embarrassant.

« J'ai été invité par votre père aujourd'hui concernant l'engagement. »

Entendant cela, Louise était tellement embarrassé au point qu'elle n’osa même pas lever la tête.

« Vraiment? Mais ce n’est pas possible, vicomte-sama. »

«Louise, ma petite et mignonne Louise, tu me détestes? » dit le vicomte en plaisantant.

Louise secoua doucement la tête et dit confusément: «Non, ce n'est pas cela. C'est juste que je suis encore jeune et je ne suis pas prête ... »

Le visage caché sous le chapeau révéla un sourire et l’homme tendit sa main vers Louise.

« Vicomte-sama. »

«Mademoiselle, s'il vous plaît prenez ma main. Aller… le banquet est sur le point de commencer. »

« Mais ... »

«As-tu été à nouveau réprimandé? Ne t’inquiètes pas. Je vais en parler à ton père. » déclara le vicomte.

Louise hocha la tête, se leva et tendit sa main au vicomte. Quelles grandes mains, ne sont-elles pas celle qu'elle rêvait toujours de tenir?

Alors qu’elle était sur le point de saisir la main du vicomte, un coup de vent souffla le chapeau de la tête du vicomte.

« Hein?! » Louise regarda son visage, perplexe. Parce que c'était un rêve, Louise se retrouva tout d’un coup dans son corps de seize ans.

«Qu'est-ce ... Qu'est-ce que tu fais ici? »

La personne en dessous du chapeau n’était pas le vicomte, mais son familier, Saito.

«Louise, viens vite. »

« Ce n'est pas grave si je viens ou pas, pourquoi es-tu ici? »

"Ne soit pas aussi étroite d'esprit, n’es-tu pas déjà tombé amoureuse de moi?» répondit Saito, qui était impudemment habillé avec les vêtements du vicomte.

On peut se demander d’où il a obtenu sa soudaine confiance.

« Ne sois pas aussi stupide, j'étais juste écervelé à ce moment-là, tu ferais mieux d’arrêter de rêver! »

«Arrête de faire des excuses, ma Louise. »

«Qui est Ta Louise? »

Saito fit semblant de ne pas l'entendre du tout et au lieu s'approcha de Louise.

«Qu’est-ce que tu essais de faire, imbécile? »

Ignorant ses plaintes, Saito procéda à soulever Louise dans ses bras, qui était dans le bateau.

«Pourquoi est-ce que c’est toi? » demanda-t-elle avec frustration tandis qu’elle frappait Saito. Mais Saito ne se fâcha pas du tout, plutôt son sourire s'élargit. Ce fit tourner Louise rouge de gêne. Elle ne savait exactement pas pourquoi, mais elle se sentait bien dans les bras de Saito. Ce fat Louise encore plus anxieuse.