Fate/stay night ~French~ セイバールート一日目-05.ks

From Baka-Tsuki
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Texte original

Anglais

Mémo Technique

Notes du Traducteur

  • page 3 : « so can we call it even? » : « on pourra quand même le faire ? » ???
  • Miyama City : à traduire par quoi ?
  • Comparer quelqu’un à une luciole : ça correspond à quoi ?

Texte

  • page0|&f.scripttitle
 Je suis désolé pour Issei, mais je devrais donner la priorité à mon travail.
 Je n'avais pas promis d'être là-bas, mais j'avais dit que je ferais de mon mieux pour y être, alors c'est ce que je devrais faire.
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 "Non, désolé, Issei. Je suis pris, on peut finir ça une autre fois ?"
 "Tu es pris...? Oh, tu veux parler de ton travail. Désolé de te causer des problèmes. Ce n'est pas quelque chose d'urgent. Ne t'inquiète pas pour moi et va travailler."
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 "Désolé. C'est la première chose que je continuerai demain matin, on pourra quand même le faire ?"
 "Hm ? Je t'ai dit, ce n'est pas si important. Ce qui était urgent a été fini ce matin. Tu pourras finir le reste quand tu seras libre, Emiya."
 "Je vois. Alors je peux finir ça quand je n'ai pas de boulot ?"
  • page3|
 "Bien sûr. Je compte à nouveau sur toi alors, Emiya."
 Issei me dit au revoir et quitte la salle de cours.
  • page4|
 "[line3]Bon."
 Je devrais me dépêcher de partir aussi.
 Bien qu'il n'y ait pas d'heure fixe à laquelle être présent, je devrais me diriger vers la ville voisine si je veux aller travailler.
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 "...Bon sang, je croyais que c'était juste pour donner un coup de main, mais ils m'ont donné 30,000 yens."
 Je suppose que c'est ce qu'on appelle tomber sur une aubaine.
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 Copenhagen, l'endroit où j'ai travaillé aujourd'hui est un magasin de spiritueux et un bar et beaucoup de monde était nécessaire pour regarnir le stock.
 C'est un gros boulot qui nécessite au moins cinq personnes, et ça ne fait pas de mal d'avoir plus d'aide.
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 Mais le patron a simplement dit à chacun de son ton habituel :
 "Je vous en prie, si vous pouvez venir aider."
 ...Complètement détendu à ce sujet.
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 Mais il se trouva que je fus le seul à venir ainsi que le patron et sa fille, Neko-san.
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 "Crétin ! Il n'y a pas moyen que les gens viennent si tu le demandes de cette façon !"
 Neko-san engueulait le patron, mais je me pointai, devenant une victimer, en défiant leurs prévisions.
 Ils m'accueillirent avec un hourra et nous décidâmes de nettoyer la salle de stockage du mieux possible
  • page10|
 [line4]Et donc, avant que nous ne le réalisions, deux heures étaient passées et nous avions fini de regarnir les stocks.
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 "Je suis étonné. Shirou, tu es un genre de boy-scout ou quoi ?"
 Après le travail, le patron mange du gâteau au chocolat d'un air impressionné.
  • page12|
 "Pas du tout. J'ai juste l'habitude des travaux difficiles et j'ai travaillé ici suffisamment longtemps pour connaître la place de chaque chose. Je ne travaille pas ici depuis que je suis petit pour rien, vous savez !"
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 "Ah, oui. Ça fait déjà cinq ans ?"
 "À peu près aussi longtemps. Vous étiez les seuls à accepter de m'embaucher juste après le décès de mon père."
 "Whoa. Pas étonnant que je me sente vieux."
  • page14|
 Il mange son gâteau au rhum.
 Neko-san boit du saké chaud à ses côtés.
 La famille est équilibrée avec le patron qui aime ce qui est doux et la fille qui aime les choses épicées.
  • page15|
 Finalement.
 "Mais tu nous as vraiment dépannés. Je ne peux pas te donner seulement du gâteau pour tout ce travail, alors voilà en témoignage de mon estime."
 Il me tend trois billets de 10,000 yens.
 Une récompense non méritée pour mes trois heures de travail, c'est même plus que ce que j'obtiendrais pour une semaine de boulot.
  • page16|
 "Oh, merci."
 J'hésite, mais je décide d'accepter ce qu’on me donne.
  • page17|
 Et alors que je quitte Copenhagen...
 "...Mmm. Attends, Emiya-n. Qui t'en a parlé pour aujourd'hui ?"
 Neko-san m'interrompt tout en se pelotonnant devant le radiateur.
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 "Um, je crois que c'était Furukawa-san."
 "...Bon sang, cet imbécile. Ne donne pas ton boulot à un étudiant. Bon, alors tu es venu aujourd’hui alors que tu n’avais pas à le faire ?"
 "Uh... eh bien, c’était du genre 'que je vienne aider si je n’étais pas occupé'."
  • page19|
 "[line3]Furukawa est un crétin, mais toi aussi.
  Oh bon. Tu ne rejettes jamais quelqu'un qui te demande de l'aide, n'est-ce pas ? Tu t'étais également occupé du magasin quand papa et moi étions tombés malade."
  • page20|
 "Hm ? Je ne crois pas que ce soit vrai. Je n’accepte pas les tâches impossibles. Je n'accepte que ce que je peux faire."
  • page21|
 "...Hm. Mais toi aussi, tu étais malade à ce moment-là.
  Je m’en fiche, mais ce que je dis, c'est que tu es quelqu'un de bien, d’un peu stupide, et donc je m'inquiète un peu. Dis à Fujimura de venir me voir de temps en temps."
  • page22|
 Neko-san fait des cercles avec le doigt tout en buvant du saké chaud.
 Elle semble me prendre pour une luciole ou un truc du genre.
  • page23|
 "D'accord. ...Donc, juste dire ça à Fuji-nee ?"
 "Oui. À la prochaine, et n'en fais pas trop."
  • page24|
 "...Wow, j'ai déjà passé le pont."
 Je suis arrivé de la ville voisine de Shinto pour revenir à Miyama City pendant que je rêvais.
  • page25|