No Game No Life : Tome 2 Prologue

Prologue - Opening

Partie 1

Quand vous tombez sur une porte fermée dans un RPG.

Avez-vous déjà pensé à ça ?

"Si seulement je pouvais faire exploser cette porte par magie", ou une idée du même genre

Et pourtant, vous ne pouvez pas. Pourquoi ?

À cause des "règles"

-Les jeux sont différents de la vraie vie

Bien sûr il y a ceux qui disent qu’ils ne peuvent pas faire la différence

Mais, mais est-ce qu’ils se sont demandé 'pourquoi ils sont différents'

Probablement qu’ils pensent 'ceci est réel, cela ne l’est pas'

Dans ce cas, j’aimerais vous demander si le sport fait partie de la réalité ou pas ? Mais ce ne sera pas nécessaire.

En effet, la raison qui différencie le jeu de la réalité est quelque chose de bien plus fondamental que ça ! C’est "les règles sont absolues"

Revenons à notre exemple de la porte. Si vous choisissiez d’ignorer les règles et que vous preniez l’option du choix réaliste. Vous pourriez exploser toute les portes sur votre chemin sans aucune hésitation.

Mais, et si le monde touchait à sa fin et, quelque part, il y a une porte qui a besoin d’une clé pour être ouverte pour le sauver. Prendriez-vous le temps de chercher la clé ?

Si c’est acceptable de prendre tout ce qu’il y a derrière cette porte sous prétexte que vous avez la clé, alors il n’y a aucune raison qui vous empêche de faire la même chose sans la clé, bien que vous puissiez être poursuivie pour destruction de biens privés !

Et quand bien même vous rencontreriez une porte si résistante que même une magie capable de réduire en poussière le roi démon n’est pas suffisante. Pourquoi ne pas détruire le mur.

Vous pourriez même penser différemment et utiliser cette même porte indestructible en tant que bouclier. Vous pourriez d’emblée allez affronter le roi démon.

Idem avec l’épée légendaire dans le rocher , pourquoi ne pas simplement détruire la roche ?

Pourtant, personne ne fait jamais ça ! Pourquoi ?

Tout simplement, car *ce serait pas intéressant*.

Oui, bien sûr ! Les règles sont créées afin que la quête et, point culminant, l’objectif final soit plus intéressant.

Aux échec, ce serait mettre le roi adverse échec et mat. Au football, ce serait mettre plus de buts, et, dans un RPG, ce serait de pourfendre le dernier boss.

Avec ces évidences clarifiées, si on passe outre les règles qui mènent à 'l’objectif final', alors on perd tout le charme.

En conséquence, les règles des jeux sont "une référence absolue commune à tous"

Je suis sûr que vous voyez maintenant

La réalité n’a pas de 'condition de victoire', pas de fin

La victoire n’est pas garantie en accomplissant certaines conditions, ni de paix créée en battant certains ennemis

Le prince et la princesse ne vécurent pas heureux pour toujours.

Peu importe bénie ou malchanceux, riche ou pauvre, tous rencontrent la même 'impasse funèbre' sans exception

Ainsi, les gens ont toujours créé leurs propres 'conditions de victoire', et ont créé leurs propres règles adaptées à cet objectif.

'Je gagne si j’ai plus d’argent, je gagne si je m’amuse'. Mais penser à une condition de victoire est, en soi, la même chose que perdre.

Maintenant, imaginons :

Vous jouez aux échec et, soudainement, votre adversaire se met, à son bon plaisir, à faire des déplacements ridicules.

Sans jamais mettre votre roi en échec, sans modestie, avec un grand sourire, il affirme qu’il a gagné.

... Du coup, ne voudriez-vous pas devenir violent ? Ne serait-il pas plaisant de le frapper ?

Et s’il y avait un jeu où tout le monde jouait comme ça ?

Ho oui ! ça s’appelle 'la réalité'

-Est-ce que les jeux et la réalité sont si différents ?

<<C’est le cas, sans l’ombre d’un doute>>

Et je dirais, aux gens qui pensent fièrement ça :

Surtout, ne les mélangeaient pas, ughh—— *tire la langue*

Part 2

Huit moniteurs de vingt-trois pouces a l'écran large. C'était tout leur mondre

Une petite planète, treize mille kilomètres de diamètre a son équateur. Un monde avec ça surface couverte d'un réseaux de fibres optiques... Terre. Sur cette planète, le concept de distance à été oublié. Se connecter a Internet permettait de transmettre des pensées aussi rapidement pour faire le tour du monde sept fois par seconde. Il était possible de sa connecter avec une personne à l'autre bout de la planète comme s'ils était du même coté.

--Des personnes disent que le mondes s’élargissait infiniment. --Mais ils pensaient que le monde avait rétrécit nous étouffant.

Tout ce qui était nécessaire a la vie peut être découvert en un seul clic. les boîtes abandonnées ont volé la pièce proche de sa largeur originale. Dans cet espace clos où la lumière artificielle de leurs étalages les aimait--non, de l'autre côté de ces moniteurs, l'espace net construit en hexadécimal--c'était leur monde entier. Entravant la pièce même ou se trouvait d’avantages de PC et de consoles. Les câbles connectée entre eux et de nombreux contrôleurs, ces choses-là ont volé leurs quartiers de faite a ce qu'il 'y ai jamais autant d'espace pour marcher. Illuminé dans ce cadre, deux visages dépourvus d'expression. Ceux-ci appartenaient au frère et à la sœur qui menaient actuellement une bataille féroce contre des joueurs inconnus de l'autre côté du globe. Le frère était un jeune homme avec des cheveux noir et des yeux noirs. La sœur était une fille avec des cheveux blanc et des yeux rouges. Le contenue de l'écran était chaotique, tandis que le contenu de la pièce l'était encore. Les écouteurs du frère et de la sœur monopolisaient même le son de leurs vrai monde. Tout ce qui pouvait être entendu dans la pièce était inorganique, des bruits de métal et les clics de la paire.

--Ils pensaient que le monde avait rétrécit. Les Réseaux de données électroniques permettaient de voir l'autre côté de la planète sans bouger. Mais ce qui a conduit à un tsunami de données qui a dépassé de loin les limites de la cognition individuelle. L'explosion de données n'a pas crée de connections infini, mais l'opposé. Le surplus d'information est u poison quoi enferme les personnes dans leurs petit monde ou tout est basé sur se qu'il veulent entendre. De nombreuses petite communauté fermées. Isolées, toujours plus petites, avec des idéologie individuelles. Et un autre endroit, un autre domaine distinct dans le onde plus loin qu'un moniteur... Parfois ils se concentrent si fort qu'ils tombent dans l'illusion qu'ils sont actuellement dans un autre monde. Qu'ils n'étaient pas la lie de la société, des héros liés, se levant pour sauver des pays. Parfois, ils étaient des mages, parfois ils étaient des commandos d'élite, parfois des assassins. Le dénominateur commun était que le monde tournait toujours autour d'eux. Des codes de victoire clairs ont été établis.

Le jeune homme laissa échapper un soupir. vingt-trois pouces d'écran large d'un moniteur. Depuis combien de temps sont-ils devenus son monde entier ?

les deux règnes invaincus dans toutes sortes de jeux. Dans le petit monde au-delà du moniteur, ils étaient pratiquement une légende urbaine. Dans la petite sphère de jeu qu'ils ont revendiquée, ils étaient vraiment des héros, tout comme dans les jeux eux-mêmes. Mais chaque fois qu'ils détournaient le regard, la scène était toujours la même. Artificiel, calme, à l'étroit. Le petit monde isolé ... de la lie de la société. Dans ces moments, le jeune homme se retrouve accablé par un sentiment de dysphorie, la sensation de jamais vu: est-ce vraiment ma chambre? Prenant la pensée plus loin, il se demandait paresseusement sans fondement dans la réalité - Est-ce vraiment le monde dans lequel je devais vivre?

"Oui, tu as raison."

Une voix répondu a son monologue éternel. Sora interrogeait le même monde ou lui et sa sœur regardaient de nombreuses fois, mais soudainement debout a l’intérieur-- un garçon pas familier, souriant innocemment. --Attend. Sora c'était vu avant ? Il chercha dans sa mémoire, mais avant qu'il puisse parler, le garçon avait disparu.

"Ce n'est pas là que vous étiez censé vivre. Alors..." Et--

"C'est pourquoi je vous ai donner une nouvelle vie."

Passé et présent, fiction et réalité. Tout les souvenirs de Sora étaient brouillés. Sa conscience de plus en plus brumeuse a commencé à dépouiller la réalité du monde. C'est alors qu'il réalisa soudainement - l'habitude.

"......Oh, je voit. C'était un rêve."

Alors, comme tous les rêves...il se fini. Impossible d'identifier précisément quand, sa conscience reviendra...

Part 3

Le Royaume d'Elkia : La Capitale Elkia. Dans cette ville, la dernière ville de l'Immanity après avoir perdu son territoire dans une offre ratée pour la domination après l'autre. Dans un couloir du Château Royale, une fille marchait mal à l'aise, Stephanie Dola. Une fille rousse, au yeux bleu et une file noble sans le vouloir le meilleur élevage, la petite fille du roi précédant.

-Cependant, la fatigue profonde qu'indiquaient les cernes sous ses yeux et ses lourdes démarches privaient la jeune femme de son raffinement naturel. Serrant les cartes à jouer avec un sourire effrayant, se frayant un chemin vers la chambre à coucher du roi, elle donna l'impression au lieu de ... un fantôme.

"Heh, heh-heh-heh... c'est le jour où vous obtenez ce qui vous arrive."

Alors que le nouveau soleil venait récolter sa conscience après la nuit, Stephanie - alias Steph - ricana nerveusement

"Sora, tu est réveiller, pas vrai?! C'est le matin !"

Bam, bam. Ces mains préoccupés avec des cartes, Steph frappa la porte, adressent rudement le roi avec son prénom. Mais...

"Beeep. La partie que tu as composé prétend n'est pas disponible"

"--Huh?"

La voix qui demanda cela depuis l’intérieur de la salle n'était pas celle du roi. Plutôt, c'était une impression chancelante, monotone d'une femme.

"S'il te plait éloigne-toi immédiatement de la porte et assure-toi de ne pas entrer."

"--Sora, c'est une sorte de blague ?"

"Non, je suis sérieux mec."

"Pour l'amour de dieux ! Je rentre, ok ?!"

Il jouait probablement à un jeu de toute façon--attend, en faite, il le faisait définitivement. Submergée pas l'iritation de la fatigue, comme si elle avait donnée un coup de pied a la porte--non, actuellement en train de donner un coup de pied dans celle-ci-- Steph entra dans la chambre royale pour y trouver...

"Désolé Je suis si désolé Je ne blaguait vraiment pas Honnêtement, je ne peut pas maintenant Je n'ai rien dit vraiment Je suis serieux s'il te plait Je suis désolé Je suis désolé..."

--Le roi, se balançant sur le lit, secouent la tête, demandent pardon proprement. Il tremblait a vu d'oeil piteusement. Cependant, Steph, ayant vu une chose similaire auparavant, regarda la pièce et parla. La chambre était en bazars avec tellement de livre qu'il n'y avait pas de place pour s'asseoir. Des livre ainsi que de nombreux jeux. Mais ce qui se fit se poser des questions a Steph était l'absence d'une chose qui devait être là mais qui ne l'était pas.

"...Hm? Sora, tu est seul ?"

"Oui Je suis seul Si seul que je n'ai plus aucunes raison de vivre probablement jamais être née dans la première place Je suis désolé apres que tu sois partiJe vais juste être un bon garçon et me controler donc s'il te plait--"

"...Grand-frère...? Tu fait une crise..."

Le roi blablatait presque sans voix, une voix frêle. La reconnaissant immédiatement, Steph fit un signe et murmura : "Donc Shiro est la. Qu'es que tu fait ?" "--Huh?"

A cette révélation, Sora tourna sa tête dans la direction de Shiro. Elle avait dû tomber en dormant. Une fille si blanche que la neige, croupissant au bout du lit. Sora bougea pour embrasser sa sœur.

"Ahhhhhhh, je suis si heureux! Oh mon dieux ma soeur !

Références

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